Mais pourquoi n'y ai-je pas songé plus tôt ?
Moi qui suis toujours à la recherche de paillis maison pour recouvrir la terre des massifs avant l'hiver, je viens de découvrir que le ménage d'automne pouvait (presque) m'apporter du plaisir et être gratifiant.
Jusqu'à présent, je n'avais pas pensé utiliser le broyeur pour hacher menu les tiges des vivaces défleuries. Heureusement une saine et rafraichissante lecture m'a mise sur la (bonne) voie !
Hier, phlox, asters, marguerites ... sont passés dans le ventre gourmand de mon petit vorace et plusieurs brouettes de tiges défleuries se sont transformées en un fin et léger broyat immédiatement répandu dans le massif le plus appauvri.
Tout feu tout flammes, je n'y suis pas allée de main morte et un inévitable bourrage m'a ralentie ... et passablement agacée.
Finalement en utilisant des brassées moins grosses et en faisant glisser les sommités tête la première dans le broyeur, cela se passe très bien. Cela est moins aisé mais batailler pour débourrer l'appareil est une opération que je déteste et qui a le don de me mettre les nerfs à vif.