Juin 2010 : notre petit coin au bord de l'eau ressemblait à ça : un bassin encastré dans un massif bien nu.
14 mois plus tard, l'endroit est méconnaissable. Fleurs et feuillages se sont donnés le mot pour remplir l'espace vide.
Les vilains bords de plastique noir commencent à disparaitre sous les plantes basses installées en bordure (carex, astilbes, alchemille, geraniums...).
Pourtant, quelles désagréables surprises au printemps lorsque j'ai vainement attendu le réveil des vivaces plantées en 2010 ! Durant l'hiver la plupart avait été gourmandement mangée par les campagnols. Ne restaient que le penstemon 'Mystica', les bruyères et les berbéris.
J'ai donc recommencé en pestant et râlant la majorité des plantations ce printemps.
Mis à part une osmonde royale, toutes les plantes proviennent de petites divisions du jardin.
Est-ce le broyat répandu sur le sol qui a eu un effet aussi bénéfique sur les plantations ... ou plus vraisemblablement, serait-ce le fait du non-entassement et de l'espace disponible ?
Il reste cependant encore de l'espace à combler. Azalées et hostas qui se retrouvent maintenant en plein soleil vont aller fleurir d'autres endroits du jardin. A l'automne, rosiers (eh oui !) et hydrangeas paniculata prendront leur succession.